SONGES ENSEIGNEMENT
Je travaille en ce moment sur le péché, en se basant sur le fait que Satan essaye toujours de nous pourrir la vie en détournant des notions de base, je me suis dit qu'il pouvait être bon de revisiter celles qui paraissaient évidentes. Dès les deux premières heures d'étude, j'ai réalisé que j'avais fait mouche. Le péché est totalement différent de ce que l'on croit.
Fatigué, je suis allé me coucher, et Dieu m'a montré ce qui va suivre. Je pense qu'il a voulu me montrer visuellement quelque chose, parce qu'en un court instant j'ai compris quelque chose, alors qu'avec des mots, c'est un peu plus long.
J'ai vu une série de tableaux qui ressemblait à celle que j'ai rapidement essayé de faire en dessous. Il y en avait beaucoup plus que trois, je ne suis pas certain qu'il y ait une limite au nombre de tableaux qui étaient présent.

Dans la case : NOTION, se trouvaient toutes sortes de choses, cela pouvait être le nom d'une personne, une action, une pensée ou n'importe quoi au sujet duquel on pourrait prononcer des paroles, bonnes ou mauvaises. Dans la case : CHOSES DITES AU SUJET DE LA NOTION, s'inscrivait en temps réel toutes les choses qu'une personne disait sur cette NOTION. Cette case n'était pas extensible.
Quand une personne disait une bonne chose, la bonne chose s'inscrivait, mais si elle disait ensuite une mauvaise chose, la bonne s'effaçait, et inversement. Par contre, si une personne ne disait que des bonnes ou que des mauvaises choses, la case se remplissait de plus en plus jusqu'à être pleine.
Une fois que la case était pleine, je me suis rendu compte que le tableau rempli était écrit sur du pain, et celui qui l'avait rempli par ses paroles devait le manger. Une fois qu'il l'avait mangé, le tableau réapparaissait, avec la même NOTION, mais la case CHOSES DITES était vide.
La taille des caractères de la case CHOSES DITES était variable, pour certaines personnes, les caractères étaient gros, pour d'autres ils étaient minuscules. Cela représentait la distance qu'il y avait entre la personne qui parlait et Dieu. Plus la personne était loin, plus les caractères étaient petits, et plus il était possible de dire de choses avant que la case soit pleine. Par contre, pour ceux qui étaient proche de Dieu, les caractères étaient très gros, mais il y avait tout de même plusieurs lignes (pas beaucoup, deux ou trois).
Il y a plusieurs significations.
- Ce que nous disons nous transforme a une vitesse indexée à notre proximité avec Dieu, et en conséquence, nous en rapproche ou nous en éloigne.
- Dire une chose, mauvaise ou bonne, ne commence à avoir de l'effet qu'après s'y être maintenu un certain temps, temps qui dépend de la proximité avec Dieu.
- Une chose dite ne s'inscrit en nous qu'au bout d'un schéma de répétition, et peut donc être annulée très simplement en surveillant notre langage.
Ce que j'ai vu concernait nos paroles quotidiennes, pas les proclamations spirituelles, les prières ou tout acte fondamentalement spirituel dans son essence.