Jésus n'est pas venu pour ...

1 - Introduction.


La plupart des enseignements et des prédications qu'on entend nous parlent de ce que Jésus a fait, passant des guérisons aux délivrances et ainsi de suite. C'est tout à fait normal d'expliquer ces choses, mais il y a une chose dont on ne parle que très rarement, ce sont les choses non pas qu'il n'a pas faites, mais les choses pour lesquelles il dit lui-même ne pas être venu.

Chacune de ces notions est amenée par la négative, tout en ayant pour destination une clarification de ce pour quoi il est venu. La raison en est simplement que ses affirmations concernant ce pour quoi il n'est pas venu sont faites en réponses aux attentes de ses interlocuteurs. Il affirme donc, sommairement, que nos pensées ne sont pas les pensées de Dieu (Esaïe 55.8 : Car mes pensées ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel).

Cela doit cependant également nous rappelez que si nous nous attendons à ces choses, c'est qu'il nous manque un niveau de compréhension. Ca n'est jamais problématique, le but a toujours été de progresser et cette dite progression ne cessera jamais. Il est donc évident que certaines de nos attentes d'aujourd'hui finiront par disparaître si elles n'étaient pas en accord avec la volonté de Dieu, pour peu que nous soyons sincère avec lui et avec nous-même.

5 - ... appeler des justes.


Matthieu 9.12Ce que Jésus ayant entendu, il dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades.9.13Allez, et apprenez ce que signifie: Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.9.14 

Marc 2.17Ce que Jésus ayant entendu, il leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.

Luc 5.31Jésus, prenant la parole, leur dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades.5.32Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs.